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5 février 2007 1 05 /02 /février /2007 14:59
Je viens de voir un sondage sur le site du monde.fr disant que la moitié des sondés préfèreraient que la France ne reconnaisse pas les crimes de la colonisation en Algérie (au moment où j'écris, 51% de 9476 votants). Je n'accorde quasiment aucun crédit aux sondages, mais celui-ci m'a frappé, d'autant venant des lecteurs du monde.fr, a priori plus éclairés et modérés que la moyenne.

En 2007, la France, pays des Droits de l'Homme (mes fesses) n'est toujours pas capable de reconnaître ses erreurs, ses errances? Rien d'étonnant alors que la France ne parvienne toujours pas à accepter l'immigration maghrébine, à éviter les violences dans les banlieues. Si on refuse d'admettre les causes d'un problème, on ne peut pas en affronter les conséquences.


La France n'a rien à craindre d'un tribunal pénal international, il y a prescription. Mais imaginez tous les gouvernements qui auraient été condamnés pour crimes contre l'Humanité si le TPI avait existé au temps de la colonisation! Les colonisateurs n'étaient sans doute pas bien meilleurs que Milosevic... mais on préfère voir inscrit sur les livres d'histoire le "rôle positif" de la colonisation.


Je me rends compte que ce post est mon numéro 69, ce qui m'amène à dire que l'Histoire est cyclique, et que ceux qui se sont fait dominer par le colon ont légitimement le droit de prendre leur revanche
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3 février 2007 6 03 /02 /février /2007 15:59
On ne peut pas dire UNE anonyme
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2 février 2007 5 02 /02 /février /2007 17:22
En mettant de l'ordre dans mes fichiers je viens de tomber sur le journal que j'avais tenu lors de mon premier voyage au Chili, en décembre 2005. Ca date un peu, mais j'ai envie de vous faire partager mes premières impressions d'alors (en corrigeant celles qui étaient fausses).


Santiago. 4,5 millions d’habitants, le cœur du Chili, son poumon (si l’on peut dire, car Santiago est très pollué: le nuage de pollution masque les Andes toutes proches). C’est là que tout se passe, dans cette ville tentaculaire (j’aime bien cette expression) très occidentalisée. Etrangement, malgré sa topographie longiligne (mon ami Bertrand a calculé que la distance Nord-Sud équivaut à Gibraltar-St Petersbourg), le Chili est extrêmement centralisé. Santiago, c'est le Chili, dit-on ici.

On rejoint une amie de Caro qui nous conduit au Cerro Santa Lucia,
Sans doute le plus beau jardin de Santiago, où fut fondée la ville
un superbe jardin installé sur une colline au milieu de la ville. C’est là que Santiago fut fondée, en 1541. Ensuite, on passe par la cathédrale (en France ce serait une petite église… les dimensions ne sont pas les mêmes ici), la place d’Armes et son arbre de Noël entouré de palmiers (le contraste est saisissant!)

Puis on passe devant le palais présidentiel, la Moneda, en plein ravalement de façade donc pas de photo. Rien de vraiment enchanteur dans tout cela. Santiago n'est ni Paris, ni Berlin, ni Madrid… On est mieux sur la côte!


Le soir, Farewell party et barbecue chez une copine de fac de Caro, pour leurs amis qui partent étudier à l’étranger. Je les trouve plutôt sympa et accueillants, comme tous les Chiliens que j'ai rencontré jusque là. Je goûte au piscola, boisson typique des soirées d'jeuns. Pas mauvais, mais pas très bon non plus. Surtout quand on pense à ce que contient le coca. Et puis je préfère le cognac-schweppes. Non je ne suis pas chauvin!

***

Depuis que je suis ici j'ai remarqué qu’on voit beaucoup plus de femmes enceintes qu’en France, en Allemagne, aux Etats-Unis… le Chili a beau être un pays relativement développé, il y a encore beaucoup d'adolescentes qui tombent enceinte, et la contraception a du chemin à faire dans un pays où l'Eglise a un poids très… lourd.

Au fil de mes rencontres, je découvre que le Chili connaît Edith Piaf, Aznavour, Trenet et… Benjamin Biollay! Mais surtout, je me rencontre que la langue française perd du terrain. Dans les années soixante, elle était enseignée comme deuxième langue, voire première (ce qui permet au papa de Caro de me chanter la Marseillaise!!!). Aujourd’hui, le français est pratiquement absent des lycées et universités. Par contre, le Français est présent un peu partout, notamment dans les sites touristiques. J'en reparlerai…




Après ce quatrième carnet, je vais faire un break pour changer un peu de sujet. J'y reviendrai plus tard. Les photos d'illustration ont été prises elles aussi à l'époque de mon premier voyage. J'aurais pu en mettre des récentes (meilleures) mais ça n'aurait pas été cohérent.

 
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1 février 2007 4 01 /02 /février /2007 16:49
En mettant de l'ordre dans mes fichiers je viens de tomber sur le journal que j'avais tenu lors de mon premier voyage au Chili, en décembre 2005. Ca date un peu, mais j'ai envie de vous faire partager mes premières impressions d'alors (en corrigeant celles qui étaient fausses).


Ce matin on part vers Maitencillo, une heure et quelques grains de sable au nord de Valparaiso. C’est une petite station balnéaire avec un mignon port de pêche et des petites criques rocheuses où l’eau est calme.

On espérait se baigner, mais il fait trop froid. Pas grave, on se promène sur la plage. C’est romantique. En passant, on évite un viol collectif à une pauvre chienne (bon, par des chiens, bien sûr). Ils sont tellement nombreux, ces chiens errants… c'est un vrai problème au Chili.

Sur les rochers du port, il y a tout plein de pélicans. C’est magnifique ces oiseaux. Très imposants, un vol très élégant, majestueux. On dirait des ptérodactyles quand ils volent (enfin, en prenant "Jurassic Park" comme référence).
IMG-2861.JPG
Ils ne sont pas farouches, on peut s'approcher assez près. En rentrant, on s’arrête à Concon (clic pour voir les photos) où de très hautes dunes naturelles surplombent la ville et l’océan.

***

Le soir, on retrouve des amis à Valparaiso (Valpo pour les intimes). Cette ville est vraiment étonnante. Un enchevêtrement inextricable de ruelles tortueuses, à la dénivelée vertigineuse pour les voitures, des bicoques multicolores accrochées à la pente on ne sait comment,
casa-1.jpg
des bars sympa, des artistes… Je révise mon premier jugement. Valpo, la Perle du Pacifique, est une ville au charme dénudé, sans artifices. Un endroit où l’on aime à se perdre. Surtout avec des guides sympathiques.

Dans un bar, un groupe de musique traditionnelle joue de la musique
traditionnelle et des chansons traditionnelles avec des instruments traditionnelles. Je suis impressionné par la dextérité du joueur de charango, petite guitarre traditionnelle des Andes. Eh bien pour moi tout ce traditionnel était bien dépaysant!

On rentre en taxi. C’est à peine plus cher que le bus, quand on le partage avec d’autres. C’est curieux, on est déjà dans la voiture, d’autres personnes entrent et s’assoient fesse contre fesse dans l’obscurité sans un regard ni bonsoir. Drôle d'intimité…
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31 janvier 2007 3 31 /01 /janvier /2007 17:46
En mettant de l'ordre dans mes fichiers je viens de tomber sur le journal que j'avais tenu lors de mon premier voyage au Chili, en décembre 2005. Ca date un peu, mais j'ai envie de vous faire partager mes premières impressions d'alors (en corrigeant celles qui étaient fausses).




Balade à Valparaiso. Pour ma première visite, je suis un peu déçu par cette ville dont on me disait monts et merveilles. Les monts (collines) sont bien là, avec leur bicoques bariolées et leurs funiculaires délabrés. Mais apparemment on n'a pas choisi la bonne colline parce que ce qu'on voit en se promenant n'a rien de merveilleux. C'est même plutôt laid par endroits. Mais bon, ça me permet de voir la face cachée (aux touristes) de la ville. Celle où les gamins jouent avec les chiens dans la rue avec des pelotas (balles ou ballons) éventrées. Celle où les voitures sont garées avec les roues en travers tellement les pentes sont rudes,

où les enfants jouent les agents de circulation… Et puis Valparaiso, on y reviendra.

En rentrant, je dis à ma copine Caro que je trouve qu'ils ont très peu de relations avec leurs voisins et que je trouve ça dommage. Elle m'explique que c'est normal ici, et me demande comment c'est en France. Réflexion faite, en France, c'est tout pareil et tout aussi dommage.

L'après-midi je change mille euros en pesos. J'ai jamais tenu une aussi grosse liasse de billets avant (pour info, 1 euro = 700 pesos). Je me sens un peu comme un mafiosi plein aux as grâce à une vente de drogue.

***

Le lendemain, petit road-trip en voiture sur la côte au nord de Valparaiso: Vina, puis la route côtière. On s'arrête à Renaca, station balnéaire où les résidences sont construites en espaliers, à flanc de colline, et munies de mini-funiculaires.

Typiquement chilien, mais quasi aussi moche que La Grande Motte. Un peu plus loin, je vois pour la première fois des pélicans. Et vers la fin de notre petit périple, on passe près de hautes dunes naturelle de sable sombre, presque noir. Joli.

En route, je m'étonne que les radios programment autant de chants et musiques de Noël, surtout trois semaines avant. En France y'en a pas autant, que je sache. Mais bon, le Chili est un pays très catholique…

Sinon j’ai encore du mal à m’habituer au rythme des repas chiliens. Petit déj tard, repas de midi vers 14 heures, tea time vers 19-20 heures, repas du soir vers 22 heures… Et pourtant je suis quelqu’un de décalé d’habitude… Enfin ça me dérange pas. Si ce n’est que j’ai peur d’engraisser à ce rythme. D’autant plus que j’aime tout ce que j’ai goûté pour l’instant, surtout les empanadas, sortes de friands au fromage, à la viande hâchée ou aux fruits de mer…
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30 janvier 2007 2 30 /01 /janvier /2007 14:47
En mettant de l'ordre dans mes fichiers je viens de tomber sur le journal que j'avais tenu lors de mon premier voyage au Chili, en décembre 2005. Ca date un peu, mais j'ai envie de vous faire partager mes premières impressions d'alors (en corrigeant celles qui étaient fausses).


Première sortie à Quilpué, la ville où habite ma copine Caro. J’en profite pour regarder tout autour de moi. Les rues d’abord. Elles sont presque toutes rectilignes et perpendiculaires. Comme à San Francisco, avec parfois des pentes à trente degrés, et souvent une chaussée défoncée. Les maisons et les boutiques ensuite. Elles ne paient pas de mine, surtout les magasins, qui ressemblent à un mélange de l’arabe du coin et d’un bric-à-brac type Emmaüs. Les poubelles, de grand paniers en métal, ressemblent vaguement à des paniers de basket. Pour les protéger des nombreux chiens errants: il parait qu'il y a plus de chiens que d’hommes au Chili.

Nous filons jusqu’à Vina del Mar. A dix jours des élections présidentielles, les affiches électorales s’entassent anrchiquement aux points névralgiques du centre ville. Des voitures à cheval vintage transportent les touristes entre les voitures. Plus loin, je vois un cireur de chaussures en action, comme je ne pensais pas en voir ici. Au Chili, ces gens-là ne sont apparemment pas traités comme des sous-merdes. Tant mieux!

Mais le plus surprenant, ce sont les chauffeurs de bus. Ils roulent comme des fous pour faire le trajet plus vite et plus souvent, et donc gagner plus (les compagnies de bus sont privées). A tel point qu’on a à peine le temps de descendre qu’il est déjà reparti. Parfois, "des rabatteurs" descendent du bus à chaque arrêt, hèlent les passants et font baisser les prix pour attirer les clients. Certains vous forceraient presque à monter alors que c’est pas votre route! Un vrai bordel!

Sinon, Vina est sans grand intérêt à part l’océan, mais c’est plutôt commun ici. C'est une grande cité balnéaire avec des palmiers, des grands buildings, des bars-resto fashion, un casino et des riches touristes. Autre surprise du jour: il existe des quartiers tout entiers protégés par une enceinte et un gardien. Ca pourrait donner des idées à Sarkozy…

Cette première sortie m’a surtout permis de réaliser que personne ou presque ne parle anglais ici, y compris les amis de Caro, et donc que je risque de galérer un peu. Tant pis pour moi! J'avais qu'à prendre espagnol au lycée! Ah oui mais alors j'aurais jamais fait Erasmus en Allemagne et j'aurais jamais rencontré Caro à Dortmund et je serais pas au Chili en ce moment…
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29 janvier 2007 1 29 /01 /janvier /2007 16:38
Suite à l'invitation de Caco, je réponds à mon tour au questionnaire des années en -2 et en -7. Le but est de raconter un petit bout de son parcours personnel. Allons-y...

1982

J'ai 1 an, des couches-culottes et une tétine omniprésente dans la bouche. Premier né de la famille, papa artiste, maman secrétaire. Pas de souvenirs de cette époque, mais je sais que je me réveille régulièrement au milieu de la nuit. Déjà des problèmes avec le sommeil...

1987
On aurait pu m'appeler Poupou. A l'école je suis deuxième de la classe, ce qui me poursuivra jusqu'en cinquième. Mais jamais le même premier devant moi. Je suis un enfant éveillé mais rêveur, qui préfère souvent (déjà!) la compagnie des filles à celle des garçons trop turbulents et bêtes. Pas de télé à la maison: Papa-maman me font écouter de la musique, m'emmènent souvent visiter des châteaux, voir des gens intéressants, mais je suis pas en âge de m'en rendre compte. Aujourd'hui je les en remercie. Papa artiste dit plein de choses que je comprends pas.

1992
Petit frère est né il y a deux ans. Au début j'étais jaloux, et puis très vite les choses ont changé. Papa-maman c'est plus vraiment ça, je m'isole dans les livres et dans ma chambre. Encore bébé au milieu des pré-ados (argh que je n'aime pas ce mot!) mais pourtant un esprit bien affirmé: je clame haut et fort que jamais j'obéirai à des cons. Quinze ans plus tard, exception faite d'un prof d'université (que certains reconnaîtront) et d'un chef de service (avec lequel je me suis débrouillé pour rester très peu de temps), j'ai tenu parole. Papa artiste dit toujours plein de choses que je comprends pas.

1997
Pas vraiment de crise d'adolescence, elle me viendra plus tard (je suis toujours en retard pour tout, depuis la naissance: je suis né au bout de neuf mois et demi et j'ai mis des heures à sortir). Au milieu des lycéens je fais toujours bébé, du coup avec les filles c'est pas vraiment ça. J'ai pourtant choisi Première L par amour pour l'une d'elles... amour non partagé. Avec maman on déménage, c'est fini avec papa. Entretemps la télé est arrivée à la maison. Petit frère a beaucoup souffert, mais c'est mieux ainsi. Papa artiste dit toujours des choses que je comprends pas.

2002
Après une phase de dépression, le Thomas nouveau est arrivé. Plus souriant, sûr de lui, confiant... Je suis journaliste depuis l'an passé et je découvre des lieux, des gens passionnants. Je me nourris de films, pièces de théâtres, concerts... et rêve de faire du cinéma. Ma vie sentimentale commence enfin à se remplir. Ma conscience citoyenne s'est éveillée. Mais papa artiste dit toujours des choses que je comprends pas.

2007
Je suis à un tournant de ma vie. Bientôt 26 ans, je suis avec une Chilienne depuis presque deux ans et vis depuis septembre chez elle, près de Valparaiso. Toujours journaliste mais sans emploi, plus que jamais préoccupé par l'environnement, j'observe le Chili, ses paysages, ses habitants... et j'écris ce blog qui me fait beaucoup de bien. Que va-t-il se passer en 2007? Rester au Chili, rentrer en France, partir au Canada, ailleurs? Seul ou avec elle?... Une certitude: ne pas végéter, toujours garder cette capacité que j'ai de s'émerveiller de ce que je vois autour de moi. Et terminer ce que j'ai entrepris d'écrire. Ah, une dernière chose: papa artiste dit des choses que je commence enfin à comprendre.
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27 janvier 2007 6 27 /01 /janvier /2007 22:18

Les hommes sont fous: on construit des buildings toujours plus grands, des avions toujours plus gros... C’est pour aider les terroristes?

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26 janvier 2007 5 26 /01 /janvier /2007 20:04
Scène de la vie chilienne: une jolie fille monte dans un bus. Au fond, un blaireau la siffle; un autre se décale pour lui laisser une place à ses côtés. La fille se retourne, cherche des yeux furibards le malotru siffleur, et plutôt que d’aller s’installer à l’une des places libre du fond, elle préfère rester debout loin des deux blaireaux. Bien fait pour leur gueule!

Il faut dire que les filles se font très souvent siffler dans la rue au Chili, pays qui reste quand même assez machiste. Ca doit être très agaçant à force, n’est-ce pas les filles? Cela dit, il y a de bons côtés: dans les entreprises notamment, tels des mâles en rut, les hommes rivalisent de galanterie: ils ouvrent la porte à leurs collègues féminines, les invitent paraît-il systématiquement à déjeuner, leur font toutes sortes de faveurs… mais bien évidemment elles sont moins payées…

Mesdames, j'attends vos commentaires…

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25 janvier 2007 4 25 /01 /janvier /2007 15:07
Mieux qu'une boisson,
un dissolvant!

Vous n'aimez rien tant qu'un bon verre de C*** Cola avec des glaçons? Vous n'avez pas idée que vous infligez à votre organisme une véritable petite bombe chimique! Après le sujet d'hier sur les bienfaits de l'eau selon les scientifiques de l'université de Washington, voici les méfaits du caca-cola.

Un puissant détergent. Besoin de récurer les WC? Versez une canette de caca-cola (ouverte, évidemment! je ne suis pas belge!) à l'intérieur et laissez reposer quelques heures, puis tirez la chasse. Votre cuvette devrait être toute blanche toute propre. Pour enlever des taches de gras des vêtements, versez une autre canette dans la machine à laver avec les tissus tachés et ajouter la lessive. L'acide citrique contenu dans la fameuse boisson ôte aussi les taches sur la vaisselle.

Finalement, le caca-cola pourrait devenir le meilleur ami de la ménagère de moins de 50 ans: avec trois canettes, vous avez fait la vaisselle, les chiottes et le linge? la marque devrait recentrer sa stratégie marketing là-dessus! Plus fort que Mr Prop'! Sauf qu'il s'agit quand même d'une boisson. Ca vous plaît, l'idée d'avaler du détergent? A moi, pas trop! Et attendez, c'est pas tout!


Un nettoyant pour moteurs.
Les camions qui transportent le caca-cola aux Etats-Unis sont identifiés avec une étiquette MATÉRIEL DANGEREUX. Les chauffeurs utilisent le breuvage pour nettoyer les moteurs de leurs camions de plus de 20 ans. Ca marche aussi très bien pour les pare-brises, notamment pour enlever les traces laissées par la neige; ou pour ôter les taches de rouille de la carrosserie?

Eh oui, le caca-cola peut aussi devenir le meilleur ami du camionneur, du mécano ou du bricoleur. Un vrai miracle ce produit! Oui mais si on boit?



Un dissolvant pour le sang et les os.
Ouille, c'est là que le bât blesse! Fini de rigoler: Dans beaucoup d'états des USA, les patrouilles routières chargent deux galons (~ 7,5 litres) de caca-cola dans leur porte-bagages pour nettoyer le sang sur la route après un accident. Et puis tiens, essayez ça chez vous: au lieu de donner à Médor l'os des côtelettes, immergez-le dans un récipient rempli de caca-cola. Au bout de deux jours, l'os devrait être complètement dissous!

Pourquoi ça? Parce que le principe actif du caca-cola (attention, voici l'instant scientifique!) est l'acide phosphorique, de PH 2,8. Suffisamment acide pour dissoudre un ongle en quatre jours. Il attaque aussi le calcium des os, ce qui fait du caca-cola la première cause d'augmentation de l'ostéoporose, une maladie qui fragilise les os.

- Le caca-cola light est encore pire.
Selon les médecins et les chercheurs, c'est une bombe à retardement encore plus dangereuse à cause du mélange coca + aspartame, suspecté d'être la cause du Lupus et des dégénérations du système nerveux.

Alors, verre d'eau ou de Coca? En tout cas, si j'étais vous, je n'offrirais plus jamais de caca-cola à mes invités; seulement à mes meilleurs ennemis.
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