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11 juillet 2008 5 11 /07 /juillet /2008 20:30
J’ai déjà expliqué qu’à Global Inc, on prend soin des employés. Par exemple, le manager général lui-même veille à ce que l’on ne fasse pas trop d’heures sup (payées ou non), on nous incite à prendre la journée libre si l’on ne se sent pas bien, on nous félicite ou nous encourage quand on travaille bien… Ca paraît l’entreprise rêvée.

Mais des fois, ça va trop loin. Exemple. Tous les soirs, l’un des cinq membres de mon service doit envoyer par email un tableau décrivant le travail fourni par chacun dans la journée. En gros, il y a une liste de 14 produits différents, et il faut remplir les cases avec les noms correspondants et le temps estimé pour chaque tâche. Ce tableau, c’est toujours un vrai bordel parce que rempli à la va-vite à la fin de la journée. Alors j’ai eu l’idée d’en créer un nouveau, avec la liste des 14 produits par ordre alphabétique, pour que ce soit plus facile de s’y retrouver. C’est tout bête, mais ça m’a valu les félicitations de Chef-qu’est-pas-chef, de son supérieur, et jusqu’au manager général! C’est trop, non?

Autre exemple. La semaine dernière, Chef-qu’est-pas-chef m’a emmené dans la salle de conférence pour me faire remarquer gentiment et en tournant précautionneusement autour du pot que je devrais faire attention à ne pas trop arriver en retard (j’ai la mauvais habitude d’avoir en moyenne un quart d’heure de retard, c’est vrai). Je lui ai dit d’accord, je vais faire attention, mais tu pouvais me le dire en deux phrases, je l’aurais pas mal pris. C’est sans doute parce que Chef-qu’est-pas-chef n’est pas encore officiellement chef, et qu’elle ne sait pas encore bien gérer les rapports de chef-qu’est-pas-chef à subordonné-qu’est-pas-officiellement-subordonné.

Mais tout cela confirme ma pensée: ici, on prend tellement soin de l’employé, on le valorise tellement, qu’il donne le meilleur de lui-même pour l’entreprise, sans rechigner. Et c’est souvent trop, par rapport à ce qu’on lui demande, et par rapport à ce qu’on le rémunère.
Et c’est vrai avec le degré de compétences qu’il y a dans cette entreprise, beaucoup d’entre nous pourraient prétendre à plus de responsabilités, un meilleur salaire, etc. Comme dirait ma mère, ce sont des Rolls Royce payées au prix d’une 2CV. Après, faut pas s’étonner qu’on soit choyés!
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8 juillet 2008 2 08 /07 /juillet /2008 07:36
C'est l'histoire d'un jeune peintre argentin, fauché comme les blés, qui débarque à Valparaiso, attiré par le mythe de la ville des artistes. Un jeune peintre va-nus-pieds qui espère y trouver l'inspiration et... des clients. Gonzalo Etcheto est tellement fauché qu'il utilise des vieilles chemises de récup' comme toile pour peindre ses oeuvres. Un jour, il rencontre mon ami Bertrand dans les rues de Valparaiso. Bertrand, qui a transformé sa maison en galerie d'art et organise des expositions, est séduit par son travail. Depuis, il vend les toiles de Gonzalo, et plutôt bien. J'ai craqué, j'en ai acheté une.



Ca s'appelle Temporal, en référence aux pluies diluviennes qui s'abattent parfois sur Valparaiso. Au goût des Chiliens, c'est avant-gardiste (vous ai-je déjà dit qu'en terme d'art, les Chiliens ont en général des goûts très classiques, et n'osent pas trop prendre de risques?). Pour moi, c'est de la bonne peinture contemporaine, avec une touche personnelle, mais sans grande audace. Voici un autre tableau de Gonzalo, fait juste avant le précédent, quand les nuages commençaient à couvrir la baie de Valparaiso:



Si vous voulez en voir plus (ainsi que d'autres artistes), je vous conseille d'aller visiter le site http://bahia.utopica.over-blog.com/, où l'on retrouve tous les artistes exposés dans la galerie de Bertrand, ainsi que les événements qu'il organise.
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6 juillet 2008 7 06 /07 /juillet /2008 15:09
Ingrid-attitude ou ingratitude, choisissez votre camp. On ne peut évidemment que se réjouir de la libération d'Ingrid Betancourt et d'une poignée d'otages "importants". Mais on peut, aussi, critiquer la sur-couverture de l'événement par les médias, notamment en France, et la récupération politico-marketing qu'en a fait notre Iznogoud (notez au passage qu'en Colombie il en est tout autrement, puisque la prochaine élection présidentielle a lieu en 2011).

Bien sûr, on ne va pas critiquer la forte mobilisation de la famille d'Ingrid, qui a fait beaucoup pour sensibiliser le monde au problème. Mais ça aide d'avoir des relations politiques haut placées et ses entrées dans les médias. Ce qui m'agace, c'est l'inégalité de traitement entre Ingrid Betancourt et la quasi-totalité des otages séquestrés pour raisons politiques, à l'échelle de la planète, dont on ne parle jamais ou presque.

Vous me direz: sans elle, sans l’action de sa famille, il n’y aurait pas eu grand’monde pour se préoccuper des otages des FARC, à part les autorités colombiennes. Certes. Mais maintenant qu’elle est libérée, je ne suis pas sûr que la mobilisation continue pour libérer les autres otages. Ingrid est devenue une icone, un peu comme l'était Lady Di, dans un autre registre. Elle est l’arbre magnifique qui cache la forêt, à tel point qu’on en oublie les autres arbres.

Et c’est bien ça qui m’irrite, qu’elle soit traitée comme une personne à part. De quel droit peut-on dire qu'une vie humaine est plus importante qu'une autre? Car c'est cela: telle qu’on nous la présente, la vie d'Ingrid Betancourt est bien plus précieuse que celle d'un otage colombien anonyme. Le fait qu’elle ait été candidate à l’élection présidentielle rend-elle sa vie plus importante? A mes yeux, non. Appelez-moi idéaliste, ou communiste si vous voulez, c’est ainsi que je pense.

Mais prenons le problème à l'envers: la vie d'un ouvrier métallurgiste est-elle moins précieuse que celle d'un bon médecin de campagne? La vie d’un chômeur vaut-elle moins que celle d’un grand chef d’entreprise? Un père alcoolique mérite-t-il plus de mourir qu’une disciple de Mère Teresa? Je ne crois pas. Et un otage, qu’il soit prince de Zambie ou employé des PTT, reste un otage. Pas de traitement de faveur. C’est l’égalité dans la souffrance. Comme le service militaire, oui mon adjudant!

Alors Ingrid Betancourt, vous qui accaparez les médias, prouvez-nous au moins qu’ils n’ont pas tort, et utilisez votre statut d’icône et d’ex-leader politique pour ne pas laisser dans l’oubli les autres otages, et contribuer à faire tomber une bonne fois pour toute les FARC.
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3 juillet 2008 4 03 /07 /juillet /2008 14:38
Aujourd'hui, c'est ma fête. N'étant chrétien que de loin, je m'en fiche pas mal. Mais je sais qu'au Chili c'est différent, et qu'il est probable qu'on me souhaite bonne fête aujourd'hui. Je m'en fiche pas mal, mais ça m'a amené à me poser cette question: pourquoi tel saint est-il célébré à telle date? En l'occurrence, pourquoi célèbre-t-on Saint-Thomas le 3 juillet? Il semblerait que ce soit décidé au cas par cas. Dans le cas de Thomas, c'est le jour où l'on a transféré son corps à Edesse, sa dernière demeure.

Sinon, j'ai appris au passage qu'en araméen, mon nom signifie jumeau. Et aussi que Saint-Thomas est parti évangéliser l'Inde. Je savais déjà qu'il symbolisait le doute, mais je ne savais pas qu'il était le patron des architectes. Je trouve tout ça amusant, dans la mesure où je travaille pour une entreprise basée en Inde, ma grand-mère m'a toujours rêvé architecte, et j'ai l'habitude de souvent douter d'un fait tant que je n'ai pas pu le vérifier moi-même (par exemple, les circonstances de la libération d'Ingrid Betancourt, telles qu'on nous les a annoncées, me paraissent douteuses). Manque le jumeau, et la correspondance entre l'apôtre et moi serait confondante.

Bon, je vais m'arrêter là, j'ai l'impression de faire du Elizabeth Teyssier! Notez quand même que c'est rigolo qu'un type réputé pour douter ait été capable de prêcher en Inde et de convertir jusqu'à des princes locaux.

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30 juin 2008 1 30 /06 /juin /2008 06:55
L'autre jour, je me promenais tout seul dans le centre de Vina del Mar (je ne travaillais pas ce jour-là, Caro si) quand je suis tombé sur une pancarte qui disait "sauna acondicionado - masajes". Chouette, un sauna, je vais aller me réchauffer là-dedans (je rappelle que c'est l'hiver au Chili).

J'entre. Derrière la porte, un escalier étroit et sombre, pas très engageant. Bon, je monte. Au premier étage, une porte opaque, fermée. Curieux. Je sonne. Pas de réponse. Je suis sur le point de faire demi-tour lorsque j'entends des bruits de pas dans un escalier. La porte s'ouvre. Je me retrouve face à une chica d'environ 25 ans, talons, mini-jupe et large décolleté.
- Euh... le sauna, c'est bien ici?
- Oui, oui, passez.
Bon, je passe. Sitôt entré, la fille me demande:
- Je te présente les filles?
Et moi, benoîtement:
- Non non, je veux utiliser le sauna.
- Ah, le sauna, OK. Mais tu veux pas que je te présente les filles?
- Ben non. Mais je voudrais peut-être un massage, après...
- Ah, donc après le sauna je vais te présenter les filles, pour le massage.
Et moi, dans ma p'tite tête naïve, je me dis: "mais pourquoi est-ce qu'elle insiste tellement à me présenter les filles?"

Bon, me voilà dans le sauna. Je préfère les hammams pour l'humidité, mais un sauna, c'est mieux que rien. Après une heure de bonne suée, je me dis que je me ferais bien un massage. Je sors: personne. Je déambule dans les couloirs, ouvre deux-trois portes: des chambres. Tiens, ils font hôtel aussi. Et puis finalement, arrive la patronne du lieu, une petite vieille ridée que j'aurais aisément pris pour la femme de ménage.
- Je te présente les files? qu'elle me demande.
- Je voudrais prendre une douche, et puis après, un massage, que je dis.
Et là, sa réponse est surréaliste:
- Justement, je vais te présenter les filles pour qu'elles t'amènent à la douche!" Euh merci, mais pourquoi vous me montrez pas vous-même, que je me dis. A ce stade, je commence quand même à me poser sérieusement des questions.
- Bon, OK, présentez-moi les filles, que je finis par dire.

Défilent alors, une par une, six filles en petite tenue sexy, genre string et bustier en dentelle, maquillées à outrance, qui viennent me faire la bise (alors que je suis tout gluant de sueur après le sauna, glup!). Là, le doute n'est plus possible: je suis dans un bordel. Bon, je me démonte pas. Je veux juste un massage, je dis. Mais un vrai massage, hein. Et la vieille qui me dit oui oui, on a compris, les filles sont là pour ça, choisis-en une. Et là j'avoue un petit instant de faiblesse, j'ai pas cherché à connaître leurs compétences de masseuses, j'ai choisi la plus sexy du lot. Au final j'ai eu droit à un massage très pro, avec des huiles et tout et tout, très bien. Pas érotique du tout.

Et là, en descendant l'escalier pour rejoindre la rue, je me dis mince, comment je vais sortir de là? Tout le monde doit savoir que c'est une maison de passes (sauf moi), et la porte donne sur la plus grande artère commerçante de Vina, et on est vendredi soir donc c'est plein de monde! Oh et puis zut, après tout y'a pas de honte à avoir, et je sais très bien ce que j'ai fait. Je sors, rideau!

Je suis un grand naïf, pas vrai?
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28 juin 2008 6 28 /06 /juin /2008 20:02
Vivre dans un pays de 4.000 kilomètres de long a changé ma perception des distances. Prenez le Chili, superposez-le en diagonale sur une carte d'Europe: vous aurez une extrémité à Gibraltar, l'autre à Saint-Petersbourg. Alors évidemment, quand avec Caro on a commencé à planifier trois semaines de vacances en Europe cet été, on a pensé large. En trois semaines, entre mi août et début septembre, on passera probablement par Madrid, l'Irlande, Cologne, Amsterdam, Londres et le Sud-Ouest de la France. A l'échelle européenne, ça paraît énorme. A l'échelle chilienne, bof, pas tant que ça.

Tout ça pour dire que ces derniers jours, j'ai été très occupé à préparer le voyage, essayer de concocter un programme faisable en fonction de nos envies, de ma famille, des possibilités de connection par train ou avion entre nos diverses étapes possibles, des prix, aussi... Eh ben c'est pas facile à gérer! Donc en attendant, le blog reste muet. Mes idées d'articles s'accumulent, mes trucs en cours ou à faire s'entassent aussi... mais basta! prenons le temps de vivre, que diable! Il y a autre chose que boulot-blog-dodo dans la vie. Mais lundi, je vais vous raconter ici même une histoire rigolote qui m'est arrivée hier. Soyez patients, et bonne fin de week-end!

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24 juin 2008 2 24 /06 /juin /2008 14:50
En 1973, Dalida chantait "Paroles, paroles" avec Alain Delon.
En 1973, l'économie mondiale tremblait face au premier choc pétrolier.
En 2008, l'économie mondiale tremble face au troisième choc pétrolier.
En 2008, le gouvernement chilien a dû se souvenir de "Paroles, Paroles".

Face à la hausse ininterrompue des prix du carburant, Santiago a en effet annoncé la création d'un fond spécial d'un milliard de dollars. Cela permettrait de faire baisser les prix à la pompe de 50 pesos/litre. Ca paraît beaucoup, mais en réalité, ce serait une baisse d'environ 8%. Pour un milliard de dollars injectés, le résultat est dérisoire. Surtout qu'au lendemain de cette annonce, les prix ont monté d'un coup d'environ 35 pesos. Autant dire que c'est un flop.

Mais surtout, le gouvernement a annoncé par deux fois la création de ce fameux fond d'un milliard, et puis... plus rien. Rien n'a été concrétisé. On sait que les politiques jouent beaucoup sur les promesses et les effets d'annonce. Des fois ça marche, mais dans un cas comme celui-ci, où tout le monde peut observer chaque jour les prix des carburants, c'est une erreur monstrueuse.

En même temps, on peut comprendre ce type de bévue venant d'un régime démocratique tout jeune: il vient d'avoir 18 ans. Et pendant ce temps-là, là où ça sent bon le sable chaud, les rois du pétrole doivent faire la fête au son de "Salama Ya Salama".
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22 juin 2008 7 22 /06 /juin /2008 16:10
L’obésité est de plus en plus fréquente au Chili, plus qu’en France, et les autorités commencent à prendre conscience du problème. Un rapport gouvernemental récemment publié déconseille fortement les laits chocolatés et autres boissons enrichies aux vitamines, beaucoup trop caloriques. Comme en France, on trouve désormais sur les emballages des sandwiches de McDaube les informations nutritionnelles. J’y ai jeté un œil, ça fait peur. Jugez par vous-mêmes:

Un menu grande taille chez McDaube, c’est-à-dire le burger, une grande frite et 40 cl de Caca-Cola, contient 60% des calories quotidiennes nécessaires, 71% des protéines, 100% des lipides (gras), 110% du sel et 30% des glucides (sucres) nécessaires. Oui, vous avez bien lu, un menu contient 100% des apports journaliers recommandés en lipides, et plus de la quantité conseillée en sel. Et ça ne prend pas en compte le ketchup et les sauces!

Ca veut dire que lorsque on mange au McDaube, on ne devrait manger aucune autre viande, aucun produit gras durant le reste de la journée, et se limiter à un seul petit repas, donc choisir entre petit-déjeuner et dîner. Evidemment, on ne le fait pas, parce que la plupart d’entre nous n’allons au fast-food que de temps en temps, et qu’une fois de temps en temps, c’est pas bien grave (et en plus, c’est bien connu, on a à nouveau faim deux heure après le McDaube). Mais imaginez donc les gens qui mangent presque tous les jours au fast-food (il y en a), dans quel déséquilibre alimentaire ils se trouvent! Si vous n’avez pu le documentaire «Supersize me», sur ce sujet, je vous le recommande chaudement.

Et puis j’aime l’hypocrisie de McDaube qui, à la demande du gouvernement français, avait accepté l’an dernier de réduire la taille de ses sandwiches. La marque en a profité pour se redorer une image en disant «vous voyez, on prend en compte la santé de nos clients». Mais en réalité, cela permet surtout à McDaube de faire des gains de rentabilité, car si la taille des sandwiches a diminué, le prix n’a pas bougé. Et pire: cela incite les clients à acheter un deuxième burger. Donc dans l’histoire, McDaube est gagnant-gagnant, et le client perdant-perdant.

C’est ce qui s’appelle s’enrichir McGrassement.
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19 juin 2008 4 19 /06 /juin /2008 18:33

J'avais lu il y a deux-trois ans un article sur un scientifique chinois qui faisait écouter du Beethov' à ses plantes vertes. J'en ai jamais parlé depuis, et hier, c'est revenu trois fois dans la conversation, avec trois interlocuteurs différents. Hasard, coïncidence, signe du destin? Je vous laisse choisir.

Tout ceci n'est pas bien intéressant. C'était juste pour vous dire que c'est pas étonnant que le Chinois ait choisi Beethoven pour ses pots de fleur: il pouvait les comprendre, il a fini sa vie sourd comme un pot!

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12 juin 2008 4 12 /06 /juin /2008 16:43

Ces temps-ci, j'ai l'impression de bloguer dans le vide, d'avoir perdu l'esprit du blogging. Je n'ai plus le temps d'aller surfer à droite à gauche (je n'ai pas visité un seul blog depuis au moins trois semaines) et pourtant je continue de publier régulièrement. Je ne partage plus avec les autres blogueurs, mais je continue d'écrire pour moi tout seul, d'une certaine manière. J'aimerais continuer à échanger, comme je le faisais avant. Mais j'ai trop besoin d'écrire, et après, il ne me reste plus de temps pour aller butiner sur les blogs. Je suis devenu blogoïste. J'espère que vous ne m'en voudrez pas.

Je reviens demain, Global Inc m'appelle!

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